Elpidia
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 On peut mourir n'importe quand. ( Anya Leewait)

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Théo Kame

Théo Kame


Messages : 38

Fiche de personnage
Points d'XP:
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MessageSujet: On peut mourir n'importe quand. ( Anya Leewait)   On peut mourir n'importe quand. (  Anya Leewait) Icon_minitimeLun 19 Nov - 23:40


- DEBOUT LÀ DEDANS EST PLUS VITE QUE ÇA ! ! !

Un cri, non, mais jamais on pourra vivre tranquille dans s'foutu bordel. Non, je ne suis pas énervé pas vrai. Je me lève donc à la vitesse de la lumière pour ne pas qu'on me hurle dessus, mais je crois que m'sieur le chef ne le voyait pas de cet avis, il venait vers moi comme un cheval au galop. Nom de Dieu saint Elpidia qu'ai-je fait au monde pour avoir cette punition dès le matin ? Je regardais le m'sieur dans yeux en cherchant sans ouvrir la bouche la cause de sa crise contre moi qui ne va pas tarder, mais à vrai dire. -puis en même temps, j'viens de me lever.- je ne voyais pas pourquoi. Il pris la parole. Un ton agacé et désespérer. Ok bon je n'ai rien fait, il va sûrement me dire de faire un truc. Le connaissant, il ne sait pas demander aux autres non, on me refile toujours les trucs les plus nuls ou voir les trucs les plus dangereux. -pas que je n'aime pas, mais genre les gens ils vont à plusieurs et moi j'suis l'abrutit tout seul.-

-Théo, je suis désolé, mais j'ai une mission que seul une personne qui paraisse vraiment jeune et qui semble innocent peut le faire.

Genre, il s'fout d'ma gueule ouvertement le mec là ? J'ai un air d'mec innocent ? Ce n'est pas marqué petite peluche à câliner sur mon front. Mais je ne disais rien, je ne voulais tout de même pas fâcher le boss qui m'donne de quoi me nourrir et de quoi laver et un endroit ou crécher la nuit. Ouais, j'ai un langage trop familier, mais bon c'est bon trainer avec des abrutis tout le temps et bien j'en deviens un sans l'vouloir. Pauvre moi. Je reposais mon regard sur l'patron et lui sortis tout naturellement.

J'suis tellement mignon qu'on m'prend pour un gosse aussi. T'veux que j'fasse mususe avec un gen pour lui faire avouer un truc et après j'le tue ?

Le patron soupirait une nouvelle. Oh oui c'était ce qu'il allait me demander. Que c'était prévisible. En même temps cela ne changeait que très rarement, franchement j'me demandais encore pourquoi j'étais encore un assassin dans s'petit groupe trop minable sa grand-mère, mais je devais rester, car même si j'dis qu'ils sont idiots, je l'ai aime bien. Je ne peux pas le nier malheureusement. Franchement si je pouvais me passer de ses trucs, j'le ferais. Je sortis de mes gongs directes sans le prévenir. Enfin comme d'habitude. Il devrait le savoir, mais il est toujours surpris quand je le fais. Le naze quoi.

-Sérieux demande aux autres un peu, j'ai p't'etre une tête d'un mec super innocent à la fin les gens vont se demander si je le suis vraiment puis j'ai genre trop la flemme quoi.

Hop, boum, plus d'vase. Trop fort le mec il sait faire tomber un truc de moins de cinq cent grammes. Faut le féliciter. Non, sérieux il va encore vouloir qu'on répare ces dégâts. Que c'est chiant. Finalement, je crois que je vais accepter, parce que sinon le mec il va nous faire une crise cardiaque sur place . Je pris le papier qu'il avait dans la main et je sorti du repère. Je me demandais ce que nous faisions ici après tout nous étions déjà venus avant et il n'y avait rien d'intéressant comme d'habitude en faite. Je regardais le papier et le nom de la personne. Oh non, une femme fait chier, j'vais encore me faire harceler par les pucelles du coins. Je pris une profonde inspiration pour éviter de penser à ce genre de choses trop futile à mon gout. Je fis trois fois le tour des auberges et des maisons pour savoir si quelqu'un connaissait cette personne, mais on dirait que c'est un fantôme enfin jusqu'à ce que je la trouve dans une ruelle, allongée par terre..morte. Putain -excusez moi du langage.- c'est qui l'idiot qui à fait mon travail que je l’extermine à mon tour. Mon patron va genre m'tuer pour ça. Je m'assis à côté du corps. -Oui, j'suis bizarre.- J'savais plus quoi faire maintenant, il faut que je dise au patron que tout est foutu. Alala, il faisait bien beau aujourd'hui..dommage que ma journée va s'assombrir.



Dernière édition par Théo Kame le Jeu 27 Déc - 0:41, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: On peut mourir n'importe quand. ( Anya Leewait)   On peut mourir n'importe quand. (  Anya Leewait) Icon_minitimeSam 24 Nov - 14:41


On peut mourir n'importe quand
Théo Kame





C
'était bientôt le matin, le soleil n'était pas encore levé. Dans la chambre il faisait encore un peu sombre, même si le ciel n'était pas tout à fait noir. Une petite bougie sur la table de chevet en bois éclairait la pièce, ou du moins, la moitié de la pièce. Parquet marron clair, mur dans les tons roses avec quelques fleurs blanches comme motifs. Lit en bois, matelas pas trop mou, couette rose pâle. La couleur de la chambre ne me gênait pas trop, tant que le rose n'était pas trop vif. Il y avait un petit bureau, avec une chaise sur laquelle se trouvait un coussin confortable pour Frimousse. L'auberge était calme à cette heure-ci, car tout le monde dormait encore. J'ouvris doucement la porte pour qu'elle ne fasse pas de bruit, du fait qu'elle grinçait, et sortie de la pièce, suivit de mon cochon. J'avais déjà mit ma longue cape noire sur moi, avec la capuche, car on ne sait jamais, peut-être que dans ce village, il y a aussi des affiches avec mon joli visage dessus. Alors je prends des précautions. Le gérant de l'auberge n'a jamais vu mon visage, mis à part mon sourire. Je descendis en silence les escaliers, prenant dans mes bras Frimousse pour ne pas qu'il tombe dedans - il est maladroit. Ah ! Un rayon de soleil passa par la fenêtre des escaliers. Le soleil commençait donc à se lever. J'atterris en bas, dans le salon de l'habitation. Cette pièce est de couleur rouge, avec bien sûr les meubles marron. On peut y voir une cheminée en face du divan le plus grand. Beaucoup de personnes se réunissent le soir, racontant des histoires....étranges. Ce sont souvent des histoires un peu gores, ou tout simplement de drôles de rumeurs, mais croyez moi, si vous les entendez, vous allez avoir peur. La façon dont c'est raconté, j'en ai des frissons rien que d'y penser.

Je sortis de la pièce et me dirigea dans la cuisine, là où m'attendait la nourriture du matin. L'aubergiste savait que je devais me lever tôt ce matin, alors il avait prit le temps de me préparer cela pour quand je serai réveillée. Quel brave garçon. Ce que j'aime bien chez lui, c'est qu'il ne cherche même pas à savoir pourquoi je ne souhaite pas montrer mon visage. Ca tombe, il pense que j'ai une mal formation, ou alors, qu'il me manque un oeil. Je le chercha du regard, mais ne le trouva point. Je pris donc une miche de pain, et sortie de l'auberge, suivit de Frimousse.

Dans la rue, il y avait déjà quelques personnes qui installaient des marchandises, car oui, ce matin, c'est le marché. Pour cela que je pars tôt, sinon, je serai dans la foule, et je n'aime pas ça. Quelqu'un peut facilement me bousculer, ou découvrir mon visage. Les personnes se méfient de moi, comme je cache mon visage. C'est vrai que cela doit leur faire bizarre de ne voir que mon sourire.

- Dis moi Frimousse, sais-tu où se trouve la fille d'hier ?

Quoi ? Vous vous demandez de qui je parle ? Cette fille, elle m'a ennuyée hier soir, quand je rentrai à l'auberge. Elle voulait absolument que je montre mon visage d'ange. Comme si j'allais le faire, surtout que nous étions dans une zone où se trouvaient des hommes étranges avec pleins d'armes. Ah ! Et vous allez dire, je suis folle parce que je parle à un cochon, mais je comprends très bien ce qu'il me dit. Et autre chose, cette fille a insulté Frimousse, disant qu'il était affreux. Elle va donc payer.

- Grrouiiiiiiiiiiik !

- Comment ? Tu l'as trouvé ? Elle est où ?

Et mon petit cochon parti en courant vers une rue un peu éloignée de celle où on était. Je passa ma tête pour voir si il y avait quelqu'un, et effectivement, il y avait cette fille...en train d'arnaquer un petit enfant. Je m'aventura donc à travers la rue, m'approchant des deux personnes. Retirant ma capuche, je dévoila mon visage, alors que la fille venait de se retourner. Mais alors qu'elle allait dire une chose, un insecte se posa sur son bras: un papillon rose/blanc. Elle n'eut le temps de ne rien dire, qu'elle tomba au sol, immobile.

- Voilà une bonne chose de faite !

Je regarda autour de moi, et je ne vis plus l'enfant. Oups..j'espère qu'il ne m'a pas reconnue, sinon je suis morte. Je m'assura que la rue était vide, et m'envola sur le toit d'une maison, regardant le corps de la fille. Et un garçon arriva près d'elle. Je me fis la moins visible possible, espérant vraiment ne pas me faire remarquer...



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