Elpidia
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 Arun El Syph [terminé]

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Arun El Syph [terminé] Empty
MessageSujet: Arun El Syph [terminé]   Arun El Syph [terminé] Icon_minitimeSam 28 Jan - 18:04

Si la vie est changeante, la mort reste fixe.





Informations globales.

Nom : El Syph
Prénom : Arun
Surnom : ( si vous m'en trouvez un, j'suis preneur !)
Age : 15 ans
Sexe : Homme
Orientation : Arun n'étant pas encore tombé amoureux et étant souvent seul, il n'a pas encore d'orientation...
Code des règles :
Spoiler:

Description du caractère :


Arun aime taquiner les gens jusqu'à la lisière de l'insolence et pourtant il déteste être fuit. C'est un baratineur de première qui adore voir la tête des gens arnaqués/escroqués par ses soins. Il est parfois mesquin.
Il s'attache à des détails inutiles et peut rester des heures immobiles à contempler quelque chose. Dans ces moments où il est plongé dans son monde, ses pensées, il s'avère agréable et sincère malgré une certaine réserve envers les autres.
Malgré tout, il est majoritairement méfiant de tout ce qui l'entour. C'est peut-être pour ça que l'idée d'arnaquer ou d'attaquer les gens lui plaît autant. Avoir les autres avant de se faire avoir : ça phrase de prédilection.
Il aime la compagnie autant que la solitude.
Il ne souhaite porter malheur à personne, et quitte tout le monde lorsqu'il sent leur mort arriver.


Description Physique :


Arun est encore en pleine croissance, et ne mesure pour l'instant qu'un mètre soixante, ce qui, pour un garçon, est assez petit. Ses cheveux sont roux et court (mais pas trop non plus), ses yeux sont marrons avec une pointe rougeoyante. Il ne prend la peine de ranger ses cheveux en ordre que si c'est réellement nécessaire (une arnaque, par exemple). Il est assez frêle dans sa constitution, mais il se rattrape avec sa musculature et son habileté qu'il tente d'entretenir. Il a une démarche plutôt nonchalante et souple (vive les montagnes).
En tant qu’ange, il possède deux ailes blanches, mais en plus il a une aile noire plus petite dont il se dégage une aura désagréable et malfaisante (il rétracte le tout en une fois, et ne peut faire l'aile noire sans les deux blanches)
Sa tenue vestimentaire : une veste un t-shirt pantalon, chaussure ( il a les pieds un peu abîmé à force d'avoir marché pied nu dans la montagne), chaussette en laine de grand-mère. Ses habits sont peu salissant, il n'a pas de quoi les laver tous les jours. Il possède des anneaux métallique au poignet, camouflés par son T-shirt pour se protéger, ainsi qu'un léger plastron en cuir en prévision de bagarre.



Histoire du Personnage :

Quelque part dans les cieux, chez le peuple des anges, lors d'une fête familiale, et alors que le bal battait son plein, un être entra en cuisine pour demander à manger. On lui servit le surplus de la fête, et on eût tôt fait de l'oublier, bien à tort. En effet, cet être s'était faufilé parmi les serveurs et alors que l'on annonçait la venue prochaine d'un nouveau né chez les héritiers, il leva son verre et éleva la voix, un sourire cynique aux lèvres. « Je maudis votre progéniture, qu'elle soit la plus désastreuse de ce vaste monde... » La main du père le saisit à l'épaule et l'envoya contre un mur, il était fou de rage. L'être ne s'était pas pour autant arrêté de vociférer. « ...seul les bas-fonds de la société seront bon pour cet enfant tant attendu ! » Sous la rage des anges, il fut totalement détruit, et sa malédiction fut ancrée dans les entrailles du fœtus.

Ainsi vint le jour de la naissance, après des mois de gestation. Le nouveau né sortit du ventre de sa mère au moment où les derniers rayons du soleil venaient de disparaître. Il fut observer de très près bien que cela fut visible de loin. Au milieu de deux ailes blanches, un début d'aile noire apparemment encore en développement, tranchait avec la pâleur de l'enfant. On le regardait avec dégoût, on ne savait que faire de lui. Il était impensable de la garder. On décida bien vite de le jeter depuis haut dans le ciel sans penser que tel un bébé humain dans l'eau a le réflexe de nager, un bébé ange lancé dans le vide a le réflexe de voler. Certes après un certain temps de chute libre et avec beaucoup de maladresses, mais avec assez d'efficacité pour planer ou tout du moins arriver à terre avec un minimum de dommage. Dans le cas de Arun, son baptême de l'air fut un succès, sa troisième aile l'ayant énormément aidée à freiner sa chute.

On l'avait intentionnellement lâché au dessus de la montagne du milieu, dans un coin particulièrement désertique où le petit corps brisé sous le choc de l'atterrissage aurait du servir de garde manger aux « gentilles » bêtes de coin... Ce qui fut loin d'être le cas. La malédiction qui lui valait ce traitement avait libéré de l'énergie et l'avait en partie sauvée. Il grandit là, tantôt recueillis par un nomade, puis par un gang de bandit... bref, pas toujours des gens très recommandable pour l'éducation d'un enfant. Mais globalement, il finissait toujours par leur attirer le mauvais œil, c'est à dire que la majorité mourrait en lui laissant leurs effectifs personnels. Malgré tout, le jeune ange se trouva souvent seul, peut-être un peu par manque de civilité.

A cinq ans, il avait déjà eu une dizaine de tuteurs et les avait tous vu mourir.

A six ans, il connaissait son douzième parent adoptif, et pas l'un des moindre, puisque celui-ci lui appris à lire et à écrire, et cela avec les plus grandes peines du monde. Arun était particulièrement indocile, glandeur, peu enclin au travail, lui qui avait presque toujours été seul et qui avait très souvent eu besoin de se trouver à manger. Cependant, au bout d'un an, il savait lire, écrire, et raconter des histoires.

A huit ans, cet homme de clan Kentro, qui pour lui était comme un père, mourut de maladie. Il est vrai qu'il était déjà malade en rencontrant Arun, mais l'enfant, qui après avoir rencontré déjà pas mal de gens, commençait à croire qu'il était à l'origine de leur mort à tous. Cet homme lui laissa, avant de mourir en crachant une gerbe de sang, son poignard actuel, qu'Arun chérit plus que tout. C'est le seul réel cadeau qu'il aie eu.

A neuf ans, une vieille dame ermite lui appris quelques règles fondamentales de vie. Elle utilisa tout son pouvoir magique pour sauver Arun de mercenaires sans foi ni loi, avant de mourir d'épuisement. Les derniers instants de la vieille dame, qu'il considérait comme ça grand-mère, resteront à jamais graver dans sa mémoire.
Mais permettez-moi de vous raconter ce cruel souvenir. Il commence après le combat vaillant de la dernière chance d'une vieille ermite qui s'était attachée à un jeune orphelin... Son grand âge entraîna une longue agonie où elle tenta de trouver un futur à son jeune protéger.
" Si...Si le voyage s'arrêtait ici... où irais-tu ?
- Ne dis pas cela, grand mère !
- Je le dis, ma vie s'en va. Elle sourit légèrement, l'air apaisé.
- Non, Mamie ! Doucement, des larmes coulent le long des joues du jeune garçon.
- Alors, dis-moi où tu iras...les yeux de la vieille dame s'embuent de larmes. L'enfant secoue vivement la tête, comme pour chasser sa peur.
- Je... Je veux rester avec toi. Il la regarde, perdu, désemparé. Il ne veut pas qu'elle meure, pas elle aussi !
- Tu sais bien que c'est impossible... Je me meurs, mon garçon. Sa voix commence à décliner, bientôt elle s'éteindra.
- Mamie, où veux-tu que j'aille ? Je ne connais que cette montagne.
- C'est la Montagne du Milieu... la pauvre femme tousse violemment, du sang s'échappe de sa bouche. Va en ville... va vers la civilisation... sa voix n'est plus qu'un souffle
- Mamie... sa voix déraille, il sanglote.
- Adieu, Arun... ses larmes se tarissent, son regard s'éteint, son souffle est inexistant. Elle est partie, emportée par la mort.
- MAMIE ! il n'ose pas la toucher, son cri est douleur. Il sent une boule dans sa poitrine qui le fait souffrir. Il étouffe. Il hurle, fait fuir toutes les vies des alentours. Il se recroqueville sur lui même à même le sol. Longtemps, il pleure. Il est à nouveau seul. Quand il se relève, il a séché ses larmes. Son regard vide dévisage le cadavre. Lentement, à l'aide d'outils de fortune, il creuse une tombe. Il y descend avec soin le corps inanimé de la vieille femme, lui dit adieu. Il y laisse quelques larmes avant de la recouvrir de terre. Il se recueille face à la tombe comme elle le lui a appris. Il regarde cet endroit familier, avec la petite cabane, les fleurs, la sources et le petit ruisseau qui en découle, avant de se retourner et de s'en aller, sans un regard de plus. Il n'en a pas le courage.
Il se remet à errer, comme avant, comme toujours ? Peut-être. Il est maudit. Il commence à le comprendre. Il ne veut plus vivre, mais grand-mère lui a demandé de rejoindre la civilisation. Il doit la trouver. Mais il a faim. Depuis combien de temps n'avait-il pas eu faim ainsi ? Il part en chasse, attrape de petits rongeurs, les fait cuire et les mange. Le jour décline déjà. Retournez à la cabane pour dormir ? Non, il refuse d'y retourner. C'est trop dur.


A dix ans, il se trouvait seul, perdu dans sa chère montagne, avec pour seul but de manger et de survivre. Il n'avait encore jamais vu de ville, tout juste une petit village Kentro. Il aurait, par les noms qu'il connaissait, et en invoquant la mémoire de ceux qui tentèrent de l'élever, facilement pu intégrer le clan des Kentro, mais, se sentant de plus en plus coupable de la mort de ses tous premiers camarades, de ces gens qui, malgré son apparence avait accepté de le prendre sous leurs ailes, il préféra ne faire partie d'aucun clan. Il serait Exorias.

Vers ses onze ans, agacé de voir les plus peureux fuir devant son anormalité, il développa une aptitude lui permettant de rétracter sa troisième aile (qui lui empêchait de rétracter les deux autres). L'inconvénient, c'est qu'il se retrouve avec une tâche difforme et noire dans le dos. Peu après, il rencontra un groupe de brigands qui l'initièrent à l'art d'arnaquer et de dévié les convois. Ceux-ci lui apprirent aussi à ce battre, et ils furent surpris par ses aptitudes physiques. Ses « nouveaux amis » ne soupçonnait pas la véritable espèce d'Arun. Ils le pensaient humain, ou quelque chose de proche.

Arun visita une grande partie d'Ëlpidia avec ses camarades. Vers ses treize ans, il réussit seul sa première arnaque, en partie grâce à sa tête spécial "enfant abandonné innocent tout mignon que si tu l'aide pas t'as honte de toi" dont il est très fier. C'est certainement une des ses plus efficaces attitudes, bien qu'il en aie développées d'autres plus ou moins efficace. Il jouait régulièrement sur les places publiques afin de s'améliorer dans la comédie et la maîtrise de lui-même. Il est vrai qu'il se serait bien passé de faire le pitre devant la foule, mais ses mentors lui avaient bien fait comprendre que c'était une phase essentiel pour réussir dans le métier. De plus, il pouvait garder l'argent pour lui, et ainsi il pouvait s'acheter des armes plus conséquente. Enfin, cela lui donnait une sorte d'alibi, un métier apparent derrière lequel il pouvait facilement se cacher, lui, ses entourloupes et ses détournements de la loi, dans le présent comme dans le futur.
C'est avec ses camarades brigands qu'il découvrit enfin la civilisation et qu'il accomplit les dernières volontés de l'ermite.
Sa deuxième arnaque en solitaire consista à vendre à une jeune mère un peu naïve un accessoire -sans valeur- pour son enfant. Il en fit tant que lorsqu'elle repartit avec l'objet -acheté à prix d'or- elle était persuadée qu'il avait été béni par une prestigieuse prêtresse d'un ancien temps -dont personne n'avait jamais entendu parler- et qu'il porterait bonheur à sa fille. Lorsqu'il raconta, très fier, son mensonge à ses amis, ceux-ci rigolèrent en lui faisant remarquer que tous le monde n'avalait pas des mensonges aussi gros que celui-là. Le garçon se renfrogna un peu, mais, lorsqu'il leur annonça la somme rondelette obtenue -qui passa en festin, au grand dam d'Arun, qui, d'habitude, pouvait garder l'argent qu'il obtenait seul- ils ouvrirent des yeux ronds.
Jusqu'à maintenant, il a fait d'autre arnaque, seul - plus ou moins crédible- ou en groupe ainsi que d'autres détournements diverses, variés (et ratés) . On ne peut pas dire qu'il réussissait à chaque fois, il lui arrivait de se faire pourchasser, obligeant tout son groupe à décamper, mais, autant il portait généralement malheur aux autres, autant lui était chanceux.

Il voyage en solitaire depuis peu, afin de ne pas porter malheur à ses amis. Il cherche néanmoins à avoir d'autres compagnons, dont il se séparerait avant de leur porter la poisse.

" Je ne porte chance qu'à moi et à moi seul "

Détails Importants :


Clan : Exorias, car il se sent indigne de faire parti des Kentro. (cf histoire)
Race : Ange (maudit)
Fonction : Né banni
Armes ou Pouvoirs : Arun possède un petit poignard affûté à double tranchant dissimulé dans sa veste. Il n'a emporté avec lui que cette arme pour pouvoir voyager momentanément léger et vite.



Dernière édition par Arun el Syph le Ven 27 Avr - 13:29, édité 3 fois
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